Passer d’une somme d’individualités à une intelligence collective :
Le défi des Comités de Direction

Chez Impulse Institut, nous accompagnons actuellement un comité de direction en pleine transformation. Il s’agit d’une PME solide, avec de réelles expertises métiers, organisée en plusieurs Business Units. Une belle organisation… mais marquée par des années de fonctionnement en silos.

Aujourd’hui, ce modèle atteint ses limites. Pour franchir un cap, le Comité de direction doit changer de logique. Passer d’une logique cloisonnée à une culture de la transversalité

De la collaboration de façade à la coopération authentique

Il ne suffit pas de vouloir “travailler ensemble” pour qu’une entreprise se transforme. La transversalité ne s’impose pas par un outil ou un organigramme. Elle se construit.

Cela implique notamment de :

  • Comprendre l’interdépendance entre les métiers
  • Fluidifier les échanges entre les équipes et les Business Units
  • Penser collectif avant de penser “sa” BU, “son” service, “son” périmètre
comite-direction-reunion

Mais soyons lucides : les vrais blocages ne sont pas structurels, ils sont humains. Ce qui freine la coopération au sein des CoDir, ce ne sont pas les process ou les reporting.

Ce sont des facteurs invisibles :

  • la peur de perdre du pouvoir
  • le besoin de reconnaissance individuelle
  • la résistance émotionnelle face au changement

Tant que ces éléments-là ne sont pas nommés, traités et dépassés, la dynamique collective reste entravée.

L’intelligence émotionnelle comme levier stratégique

C’est précisément là qu’intervient notre approche.
Grâce à notre expertise en analyse neuro-cognitive et comportementale, nous allons chercher au-delà des symptômes visibles.

Notre mission :

  • Identifier les tensions sous-jacentes
  • Mettre en lumière les freins invisibles
  • Accompagner un changement de posture au sein du CoDir

Car oui, faire évoluer un collectif dirigeant ne consiste pas à faire du team building une fois par an.

Il s’agit de poser un cadre de coopération durable, d’élever le niveau de maturité du groupe, et de cultiver une forme d’alignement actif et responsabilisant.

Coopérer pour durer

Comme le rappelle si justement Pablo Servigne :

“L’autre loi de la jungle, ce n’est pas la compétition, c’est l’entraide.”

Et cela vaut aussi pour les entreprises.
Les organisations qui résistent, innovent et durent sont celles qui ont appris à coopérer.
Celles où les expertises se nourrissent, les silos s’ouvrent, et la performance devient une affaire de collectif.

Passer d’une somme d’individualités à une intelligence collective,
Ce n’est pas un changement d’outil ou de méthode.
C’est un saut de maturité.

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